Le requérant, Monsieur X., interroge la CNCDP sur la question du respect des règles déontologiques que pose une « attestation de bilan psychologique » qui aurait joué un rôle important dans la procédure de divorce en cours. Il joint à son courrier l’attestation de la psychologue qui déclare suivre en entretien individuel Madame X. pour « conflits conjugaux amenant à un état dépressif constaté ». Dans cet écrit, la psychologue, qui n’a jamais rencontré le requérant, met en cause « l’un des proches » de sa patiente pour « l’inconfort moral apporté au quotidien » qu’elle estime « incompatible avec la maladie » pour laquelle Madame X. est soignée. Le requérant joint également une attestation d’une infirmière qui fait état de la solitude de Madame X. dans son séjour à l’hôpital, mais aussi de son courage et de sa stabilité psychologique. Cet écrit lui semble en contradiction avec l’attestation de la psychologue.