Une psychologue dans un « point santé jeunes », précisant qu’elle « reçoit très rarement de jeunes mineurs », pose 3 questions à la CNCDP – Si un jeune mineur m’est adressé par un tiers (infirmière scolaire par exemple), avant de le recevoir, dois-je obtenir le consentement de ses parents ?
– Si un jeune vient me consulter de sa propre initiative, dois-je informer ses parents de cette consultation ?
– Dois-je obtenir le consentement des parents avant de commencer un suivi psychologique avec leur enfant ?