Une patiente met en cause les pratiques d’un psychologue clinicien, psychothérapeute ; elle précise que les dérives décrites se sont aggravées depuis trois ans alors que les six premières années se sont avérées positives : « son attitude actuelle est plus apparentée à celle d’un gourou que d’un psychologue. »
La requérante décrit en effet la pratique de ce psychologue comme une succession « d’agir » envers des personnes fragilisées et sous influence – organisation de fêtes chez lui ou au domicile de ses patients, sorties en boîtes ;
– organisation de séjours thérapeutiques dans sa résidence secondaire en Tunisie ;
– mauvais traitements divers (coups, douche, « abandon » dans le désert, marches « forcées »).
La requérante, qui a pris contact avec un avocat en vue d’engager des poursuites, demande l’avis de la CNCDP sur les attitudes et comportements de ce psychologue.