Le requérant sollicite l’avis de la Commission Nationale du Code de Déontologie des Psychologues « sur une expertise psychologique » le concernant lui et [sa] famille réalisée dans le cadre d’une procédure de divorce. Dans un premier courrier, le requérant demande un avis sur le texte de l’expertise et « sa forme » ainsi que « des conseils afin [qu’il puisse ] bénéficié de l’assistance d’une expertise plus objective à présenté au magistrat ». Il souhaite dans un second courrier obtenir « une réponse rapide afin [ qu’il puisse] demander au JAF (Juge des Affaires Familiales) une deuxième expertise pour (les seuls parents) ».
Le requérant affirme que l’expert psychologue :
- « n’a pas été équitable envers les deux parties »,
- « a dépassé le cadre des simples réponses aux questions posées »,
- « a tiré des conclusions réductrices sur [ses] aptitudes et [sa] personnalité ayant une influence directe sur [son] existence » ;
- « [s’est servi] notamment de choses [que l’expert psychologue] n’a pas observées ».
Dans son argumentaire, le requérant reprend textuellement les articles du code de déontologie des psychologues sans en citer la source et demande à la Commission « un avis sur le texte établi par l’expert psychologue ».
Pièce jointe :
– copie du compte rendu de l’expertise psychologique portant des annotations manuscrites du requérant.