Le demandeur sollicite la Commission au sujet d’une « information préoccupante » ou signalement rédigée par une psychologue exerçant en libéral concernant sa fille âgée de quatre ans. 

Séparé de la mère depuis que sa fille est âgée de six mois, il précise que celle-ci n’a « cessé de l’évincer de [son] rôle de père » depuis leur séparation, en ne respectant pas les modalités de résidence et en déposant des recours auprès du juge aux affaires familiales pour limiter ses droits de visite et d’hébergement.

Deux mois avant son courrier à la Commission, le demandeur a décidé de se rapprocher géographiquement du lieu de résidence de la mère afin de favoriser les liens avec sa fille. Depuis ce jour, il n’a plus aucun contact avec sa fille et la mère refuse tout échange avec lui lorsqu’il souhaite prendre de ses nouvelles et ne lui présente pas l’enfant pour qu’il exerce son droit d’hébergement.

Au même moment, la mère et leur fille ont été reçues lors d’une consultation par une psychologue qui a rédigé l’information préoccupante auprès des autorités administratives et judiciaires, écrit que Monsieur qualifie de « complaisance ». Il remet en question cet écrit où la psychologue recueille les propos de la mère et dans lequel elle pose « des questions absurdes à sa fille qui vont dans le sens de la mère ».

Le demandeur est très préoccupé par la situation de sa fille. Il décrit que la mère a une relation exclusive avec elle et qu’elle a le souhait de « le supprimer [ce qui] entraîne un déséquilibre et une inquiétude certaine chez l’enfant ». Il pense que le dernier recours de la mère « a été de le dénoncer de la pire des choses à savoir d’attouchements sur [sa] fille » par le biais d’une information préoccupante, et de lui faire « subir de nombreuses expertises ».

Ainsi, le demandeur interroge la Commission sur « le fond, la forme et les aspects déontologiques » de cette attestation.

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