Une personne porte de graves accusations contre les pratiques de la psychologue-psychothérapeute qui l’a suivie (psychologue, par ailleurs expert auprès des tribunaux de son département).
Après avoir déposé plainte auprès du Procureur de la République, elle s’adresse à la Présidente de l’Association des Psychologues de son département afin, dit-elle, « qu’au niveau de votre association, vous engagiez les actions nécessaires dans le cadre de vos prérogatives ». Depuis, la plaignante a informé l’association que la plainte déposée auprès du Procureur de la République pour abus de pouvoir est jugée comme relevant de la responsabilité civile et/ou professionnelle et non de la responsabilité pénale.
C’est la Présidente de l’Association des Psychologues qui s’adresse à la CNCDP car l’association s’interroge « quant à la manière d’intervenir dans ce cas précis et d’une façon générale quant aux dérives déontologiques ». Elle souhaite apporter « des réponses claires et précises qui garantissent, face au public et pour chacun de nous , notre identité professionnelle ».
Deux questions se posent à la CNCDP
, au regard du Code – L’association est-elle fondée à intervenir auprès de la psychologue ?
– La psychologue en question a-t-elle respecté le code de déontologie ?