La requérante, qui adresse son courrier à « l’Ordre national des psychologues », se plaint de violences morales infligées par une psychologue de la maternité où elle venait d’accoucher.
Elle évoque, à l’appui de ses dires, un signalement effectué par la psychologue et le chef de service de la maternité, et elle affirme que la psychologue a incité le père d’un de ses enfants à la « terroriser par une violence physique et verbale et à reconnaître [leur] enfant. »
La requérante estime qu’un « avertissement ne serait pas inutile ».