La requérante, psychologue consultante et formatrice à l’… s’estime victime d’une escroquerie de la part d’un Institut privé de formation à la psychothérapie pour lequel elle a travaillé bénévolement depuis 1993, y compris en recrutant pour lui des élèves parmi ses relations, dans l’espoir – aujourd’hui déçu – d’y être employée. Elle s’inquiète « devant l’absence de réglementation qui permet qu’un acte professionnel tel que l’exercice de la psychothérapie […] tombe dans les mains d’amateurs naïfs ou intéressés […]. » Elle souhaite qu’un cadre légal protège l’exercice de la psychothérapie et demande à la CNCDP si elle a « les moyens de faire avancer cette réflexion et de contrebalancer les orientations éminemment dangereuses » d’organisations nationale et européenne de psychothérapeutes.